NJUDDU JEERI

Dans notre société un "Njuddu Jeeri" veut dire que ce dernier est un citadin. Il né et grandi loin de ses ancêtres. Donc ce qui veut dire que les "Njuddu Jeeri" se comptent parmi des millions à travers le monde. Et la plupart de ces individus (Njuddu Jeeri), leurs marques de fabrique, c'est délaisser, leurs cultures, leurs civilisations, leurs coutumes, voire leurs langues. Malal voulant briser la négligence, dont beaucoup ses paires sont victimes, parfois à cause de leurs paresses, de leurs négligences, de leur complexe d'infériorité, le déracinement de leurs parents... En plus de cette négligence un " Njuddu Jeeri », peut se plonger dans la Psychose, qui lui pousse à croire, que ce qu'il est n'est pas bon, n'est pas adéquat, n'est pas civilisé...Et pourtant ces pensées indigestes, ne sont que des préjugés. Malal compte bel et bien se formater, mais il lui faut beaucoup de patience, de courage et surtout de volonté, pour abandonner ses acquis pour aller vers l’inconnu. Cette volonté ouvre à Malal la première porte pour un voyage vers une nouvelle identité. Le jeune ne savait pas que retour aux sources, n’est que le point de départ, la complémentarité avec toute autre, civilisation est une rédemption pour soi-même. Le « Njuddu Jeeri » se questionne dès son premier contact avec la culture qu’il dénigré de loin dans son fief (la ville) car ces réalités virtuelles partiront à la première rencontre avec un vieux qui raconte comment ils arrivaient à cartographier leur itinéraire pendant leurs déplacements. Malal ne comprenez rien car en ville c’est par de son seulement qu’il s’identifier peulh mais par le parler il utiliser plus la langue de la ville que cette de ces parents. Mais pour le « Njuddu Jeeri"le déracinement n'est pas une honte, mais il est honteux de pas connaitre son identité. Être née en ville n'est ni bénédiction, ni handicap mais pour certains jeune une opportunité de rencontrer d’autre culture dont la leur. C'est l’esprit d’un un Juddu Jeeri dans l’autre cas il est Galoudo a l’image de Kéma. Beaucoup renie leurs appartenances à une société de par leur négligence, leur faiblesse, sans pour autant essayer de comprendre, alors que celle ci au moindre effort joue en leurs faveur pour bien